J'ai pensé à vous en lisant le journal. Dans le registre "le grrand retour de la gestion active", le Figaro fait preuve d'ingéniosité :
"Frédérick Askell, responsable de la gestion de fortune chez Patrimmofi, recommande de placer 40.000 euros sur son PEA, répartis sur une dizaine de fonds actions soigneusement sélectionnés. Ses chouchous ? Ceux de Comgest, Axiom, HMG, Varennes. « Il faut jouer l’Europe du Nord hors zone euro. Et dans les petites valeurs, les gérants sont souvent meilleurs que les ETF, trop concentrés sur certaines méga capitalisations », souligne-t-il."
C'est important, d'être soigneux.
"Romain Chevallier, chez Abeille Assurances, privilégie pour sa part des fonds euro boostés comme Afer Génération (surperformance au bout de 8 ans pour les épargnants fidèles), ainsi qu’une forte exposition aux actions américaines et aux fonds thématiques : Pictet Water, BNP Aqua, ou encore des fonds IA et santé. « La gestion passive via ETF est intéressante mais manque parfois de discernement. La gestion active permet d’arbitrer, de s’adapter, et d’apporter du conseil », insiste Chevallier.
Dommage, on en attendrait surtout qu'elle permette d'améliorer l'adéquation entre espérance de gain, risque de perte et objectifs individuels. Heureusement, pour ça, il y a la gestion passive.
En tant qu'adhérent à l'AFER tu ne sembles pas ravi d'avoir un nouveau papa ?
Cela dit, trêve de plaisanterie, quelle est la gouvernance de cette institution ? Comment en arrive--t-on à la réélection de Beckerman ? Les adhérents cèdent leur pouvoir à qui ?
Les réélections de Gérard Bekerman sont parfaitement démocratiques. Chaque adhérent peut voter (y compris en ligne), ou confier un pouvoir à un tiers (notamment le président de l'Afer) avant l'assemblée générale annuelle. Je suppose que le style de GB convient à la majorité des votants et que tout le monde ne lit pas les conventions réglementées et les grotesques communiqués de presse de l'Afer. Il faut vraiment que je minimise ma dissonance cognitive de plus en plus aiguë en rachetant progressivement mon contrat et en le clôturant.
Philippe,
J'ai pensé à vous en lisant le journal. Dans le registre "le grrand retour de la gestion active", le Figaro fait preuve d'ingéniosité :
"Frédérick Askell, responsable de la gestion de fortune chez Patrimmofi, recommande de placer 40.000 euros sur son PEA, répartis sur une dizaine de fonds actions soigneusement sélectionnés. Ses chouchous ? Ceux de Comgest, Axiom, HMG, Varennes. « Il faut jouer l’Europe du Nord hors zone euro. Et dans les petites valeurs, les gérants sont souvent meilleurs que les ETF, trop concentrés sur certaines méga capitalisations », souligne-t-il."
C'est important, d'être soigneux.
"Romain Chevallier, chez Abeille Assurances, privilégie pour sa part des fonds euro boostés comme Afer Génération (surperformance au bout de 8 ans pour les épargnants fidèles), ainsi qu’une forte exposition aux actions américaines et aux fonds thématiques : Pictet Water, BNP Aqua, ou encore des fonds IA et santé. « La gestion passive via ETF est intéressante mais manque parfois de discernement. La gestion active permet d’arbitrer, de s’adapter, et d’apporter du conseil », insiste Chevallier.
Dommage, on en attendrait surtout qu'elle permette d'améliorer l'adéquation entre espérance de gain, risque de perte et objectifs individuels. Heureusement, pour ça, il y a la gestion passive.
En tant qu'adhérent à l'AFER tu ne sembles pas ravi d'avoir un nouveau papa ?
Cela dit, trêve de plaisanterie, quelle est la gouvernance de cette institution ? Comment en arrive--t-on à la réélection de Beckerman ? Les adhérents cèdent leur pouvoir à qui ?
Les réélections de Gérard Bekerman sont parfaitement démocratiques. Chaque adhérent peut voter (y compris en ligne), ou confier un pouvoir à un tiers (notamment le président de l'Afer) avant l'assemblée générale annuelle. Je suppose que le style de GB convient à la majorité des votants et que tout le monde ne lit pas les conventions réglementées et les grotesques communiqués de presse de l'Afer. Il faut vraiment que je minimise ma dissonance cognitive de plus en plus aiguë en rachetant progressivement mon contrat et en le clôturant.